Brève
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La petite histoire de la Galerie de Clem

L’histoire de la Galerie de Clem commence avec les talents d’une femme que son mari a voulu mettre en valeur. Et oui, ma femme a un talent et je la soigne !

À vrai dire, elle n’a pas qu’un seul talent. Mais nous commençons avec celui qu’elle peut mettre en œuvre sans déplacer des montagnes, qui ne nécessite pas d’aller à l’autre bout de la ville. Celui qui commence avec un papier et un crayon et qui finit plein de couleurs : l’aquarelle. Cette question m’est rapidement venu à l’esprit : « Comment mettre en valeur ce talent ? ».

La première réponse, celle de l’informaticien : un site web. Et la seconde, celle de l’homme qui veut faire quelque chose de ses dix doigts : l’encadrement.

Aquarelle Abbaye Saint Victor, Marseille, Provence

Les origines : l’aquarelle

Clémence et l’aquarelle c’est une histoire ancienne qui commence sur les genoux de sa grand-mère Maman Zabeth. Son sens des couleurs et ses œuvres originales ont éveillé l’esprit créatif de Clémence. Plusieurs années plus tard, un pinceau à la main, Clémence réalise les premières aquarelles de ses vacances : l’Île aux Moines, Saint Jean de Luz.

Après quelques timides aquarelles pour orner des livrets de mariage de frères, cousins et d’amis, vient alors un moment décisif dans la vie de Clémence : son mariage. Quoi de mieux pour notre livret de Messe de mariage qu’une petite aquarelle de l’abbaye Saint Victor associée à Notre Dame de la Garde. Deux lieux emblématiques de Marseille qui permettent de faire une première mise en lumière des aquarelles de Clémence.

Le site Galerie de Clem

Depuis longtemps, je cherchais une idée pour réaliser un site internet. L’objectif étant de ne pas faire quelque chose de technique mais qui soit à destination de tous. Et idéalement, que je ne sois pas le seul à le faire vivre. Et voilà que Jyve le Geek rencontre Clem l’artiste, ils se marient et en plus d’avoir beaucoup d’enfants, ils créent un site internet.

Avec le site la Galerie de Clem, j’ai voulu mettre en lumière les créations de Clémence. Dans un premier temps ses aquarelles et j’espère d’autres surprises à venir. N’étant pas la seule artiste de la famille, j’espère que cela incitera d’autres à partager leurs œuvres.

L’encadrement

Mis de côté le cliché de la bonne mère de famille, qui durant ses quelques heures disponibles, encadre de vieilles gravures trouvées dans un grenier ou une œuvre d’un autre temps. Je me suis mis dans l’idée de commencer à encadrer (toutes) les aquarelles de Clémence. Mon premier objectif fût naturellement d’encadrer notre aquarelle de Saint Victor.

Un temps rangée dans un carton, puis mise dans un cadre acheté à la va-vite à l’Ikea du coin, elle traînait discrètement sur le coin d’un meuble en attendant d’être ré-encadrée. Et au détour d’une recherche de cadre pour le mariage d’un bon copain, nous avons décidé de le faire nous-même.

Au fur et à mesure de nos pérégrinations dans les boutiques de beaux-arts, en quête d’outils et de matériaux pour réaliser notre encadrement, les idées ont fusées. D’une idée simple d’encadrer l’aquarelle et les faire-part séparément, nous en sommes arrivés à la conception d’un assemblement des deux. Pour un résultat réussi, il faut finalement mettre une bonne dose de réflexion.

Affaire à suivre

Vous l’aurez compris, je ne compte pas m’arrêter là. J’espère que nous ne sommes qu’au début d’une petite aventure ! Attendez-vous à voir apparaître de nouvelles créations bientôt ! (J’espère que Clémence retrouvera rapidement un atelier de poterie.)